Tatiana de Rosnay, “Elle s’appelait Sarah”

Paris, 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d’Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s’attache au destin d’une fillette et mène l’enquête au péril de ce qu’elle a de plus cher.

Paris, 16 juillet 1942. À l’aube, la police française fait irruption dans l’appartement des Starzynski. Affolée, Sarah, dix ans, enferme son petit frère dans une cachette en lui promettant de revenir le chercher. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là.

Elle s’appelait Sarah ne craint pas de s’attaquer à une page sombre de l’histoire française.

Tatiana de Rosnay, “Elle s’appelait Sarah”

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